Une assemblée de 400 personnes a suivi avec intérêt  ces échanges. Parmi les intervenants,  Pierre Fillon, Président de l’Automobile Club de l’Ouest, a rappelé la démarche novatrice de l’ACO, depuis sa création, dans l’évolution de l’automobile. «La course des 24 Heures du Mans a été créée pour permettre aux constructeurs de pouvoir tester leurs machines. Elle a été depuis, à l’origine de nombreux progrès sur les voitures, mais aussi sur le bitume ou sur la signalétique. Aujourd’hui, nous réfléchissons et participons activement aux nouvelles mobilités, aux technologies nouvelles. En 2018, par exemple,  nous pourrions avoir en stand 56, une voiture (une LMP3) à pile combustible, fonctionnant à l’hydrogène. En 2019, Le Mans devrait voir aussi une voiture électrique équipée de batterie, avec une autonomie lui permettant de boucler un relais. Pour les voitures autonomes, notre réflexion concerne pour l’instant, les safety car. »

Le circuit des 24 Heures, tout comme la ville du Mans, labellisée French Tech, entendent bien utiliser leur écosystème pour devenir la référence en matière de nouvelles mobilités.