Toyota et l’empreinte des 24 Heures du Mans
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Toyota et l’empreinte des 24 Heures du Mans

Les débuts de Toyota en compétition internationale remontent au milieu des années 1970. Les activités sportives de la marque sont placées sous l’égide de Toyota Gazoo Racing, basé à Cologne (Allemagne), également en charge de la création de modèles de route d’exception, inspirés de la technologie utilisée en compétition.

Outre de nombreux succès en rallyes (quatre titres mondiaux) et sept années de présence en Formule 1 (de 2002 à 2009), les 24 Heures du Mans occupent une place particulière dans l’histoire de Toyota en compétition.

Les grandes dates

Cet engagement sarthois commence au milieu des années, 1980, tout d’abord avec des équipes partenaires comme Tom’s, Dome ou encore SARD. Après treize années de présence aux 24 Heures de 1985 à 1999, Toyota se consacre à la Formule 1, avant de faire son retour dans la Sarthe, pour une présence ininterrompue à partir de 2012.

1985

Première apparition de Toyota aux 24 Heures du Mans avec deux prototypes 85 C au départ. Le trio japonais Kaoru Hoshino/Masanori Sekiya/Satoru Nakajima termine douzième.

1990

Toyota entre pour la première fois dans le top 10, avec la sixième place de Geoff Lees/Hitoshi Ogawa/Masanori Sekiya.

1992

Absent en 1991, Toyota retrouve les 24 Heures et signe son premier podium grâce à Kenny Acheson, Pierre-Henri Raphanel et Masanori Sekiya, deuxièmes. Cette année-là, Steven Andskar, George Fouche et Stefan Johansson terminent également cinquièmes.

1993

Toyota place quatre voitures dans le top 10 : Eddie Irvine/Masanori Sekiya/Toshio Suzuki (4e), Mauro     Martini/Naoki Nagasaka/Roland Ratzenberger (5e), Steven Andskar/Eje Elgh/George Fouche (6e) et Juan Manuel Fangio II/Jan Lammers/Geoff Lees (8e).

1994

Deuxièmes, Eddie Irvine, Jeff Krosnoff et Mauro Martini passent tout près de la victoire. Steve Andskar, George Fouche et Bob Wollek terminent également quatrièmes.

1995-1996

Toyota passe en catégorie GT avec la Supra LM, et comme meilleur résultat la quatorzième place de Marco Apicella/Jeff Krosnoff/Mauro Martini en 1995.

1998-1999

Toyota revient au Mans avec la TS020, également connue sous la dénomination GT-One. Conçue par l’ingénieur français André de Cortanze, elle dispute la victoire à Porsche. En 1999, Martin Brundle offre à son volant à Toyota sa première pole position sarthoise. Deuxièmes cette année-là, Ukyo Katayama, Toshio Suzuki et Keiichi Tsuchiya signent le meilleur résultat d’un équipage japonais aux 24 Heures.

2012

Après treize années d’absence, Toyota fait son retour au Mans. Ses prototypes utilisent la technologie hybride, dont le constructeur japonais est le leader mondial sur route.

2013-2015

Toyota signe deux podiums (2e en 2013, 3e en 2014), tandis qu’en 2014, Kazuki Nakajima est le premier Japonais à réaliser la pole position des 24 Heures.

2016

La Toyota n°5 en tête de la course est contrainte à l’abandon à quelques minutes de l’arrivée.

2017

La pole position de Kamui Kobayashi établit le nouveau record du circuit des 24 Heures en 3’14’’791, à 251,882 km/h de moyenne.

2018-2019

Toyota remporte ses deux premières victoires aux 24 Heures du Mans, avec au volant de la TS050 Hybrid n°8 Sébastien Buemi et Kazuki Nakajima, rejoints par l’ancien double Champion du Monde de Formule 1 Fernando Alonso. En 2019, Mike Conway établit au volant de la n°7 le nouveau record du tour en course, en 3’17’’197 (248,6 km/h de moyenne).

Profitez de l’exposition exceptionnelle dès maintenant, et ce jusqu’au 20 février 2022.

Pour en savoir plus sur le Musée des 24 Heures du Mans

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